Test de tente suspendue à la Réunion
La Réunion, le paradis d’Eden
La Réunion, département français d’Outre-Mer, un petit goût de paradis, loin de tout mais très français !
Demandez la lune, vous aurez Mars, demandez le soleil, vous aurez la canicule, demandez les arbres, vous aurez la jungle, demandez une bouffée sauvage, vous aurez des pistes seulement desservies par vos pieds, demandez la mer, vous aurez un aquarium géant…
La Réunion est cette île de 2500 km2, presque 4 fois plus petite que la Corse, au milieu de l’océan indien, née d’un volcan et densément peuplée, 800 000 habitants selon Wikipedia.
Mais malheureusement plus un dodo, oiseau endémique, légende locale qui n’a pas résistée à l’arrivée humaine, mais que l’on retrouve partout ou presque et notamment comme icône sur les bières locales.
Une découverte florale et ...
La Réunion, c’est un savant mélange de mer et de montagne, de jungle et d’aquarium. La faune et la flore y ont un côté magique, féerique et luxuriant.
Les papillons, les oiseaux, les reptiles (inoffensifs notamment les caméléons appelés endormis – le nom est bien choisi), les poissons de toutes les couleurs, de toutes les tailles, actifs ou calmes, mais rarement agressifs accessibles ou invisibles, la faune locale accompagne une découverte sensorielle.
(A une exception près : le requin bouledogue ou tigre fait malheureusement trop souvent la une des journaux locaux et nationaux et impose des interdictions de baignade sur certaines plages paradisiaques)
Découverte animalière à la Réunion
La flore y est également dense et impressionnante, des coraux marins de toutes les couleurs aux arbres et arbustes qui changent de forme et d’espèces à chaque serpentin de route sinueuse qui vous emmène 20 mètres plus haut. La terre volcanique y est pour quelque chose.
On constate avec étonnement des petites et grandes pouces émerger des laves refroidies noires et grises. Couleurs qui rehaussent un contraste déjà prégnant, le vert de la flore, s’oppose au noir volcanique et se fond dans la mer bleue turquoise.
Avec un sommet à plus de 3000 mètres (le Piton des neiges à 3071m) d’altitude, en partant du niveau de la mer, on imagine bien que ça monte à pic ! Et logiquement chaque étage de la fusée (volcanique) apporte ses différences.
Le climat change, la pluie (et l’orage) arrive(nt) ou disparaissent, les végétaux gagnent en hauteur ou rapetissent, les oiseaux ne gazouillent plus de la même façon, les climatisations ou les cheminées apparaissent sur les constructions qui sont plus ou moins denses, les élevages et cultures mutent.
On passe de la Suisse et des pâturages de vaches laitières à la culture de noix de coco en palmiers et autres bananiers.
On passe de l’océan et ses vagues aux canyons à pic avec une différence de température saisissante (25° et plus pour la mer, plutôt 12° et moins pour les canyons).
Sans oublier la gastronomie réunionnaise
Et pour ne pas être dépaysé, un français qui chante aux « zoreilles » des métropolitains. Surnom qui perdure dont les locaux ont affublés les « métro » qui viennent de Paris & co qui doivent tendre l’oreille lorsque le créole chante. Difficilement compréhensible s’il est parfaitement courant, certains mots sont accessibles à une oreille non affutée.
Le créole, les samosas, la dodo, les fruits de la passion (dans le rhum), et les glaces : un menu pour survivre dans cet environnement pas inhospitalier.
Innovations de camping à la réunion
C’est la que nous avons choisi de faire le test (et les photos) de la première tente suspendue monoplace de Tentsile, pour tester le chill out sur la plage à l’ombre (on est pas encore devenu métis en une nuit), des cocotiers, au dessus des ravines et autres cascades. Et nous n’avons pas été déçu !
La preuve en images : pour se poser un peu égoïstement, Tentsile a trouvé la solution !
Et on est ravis de l’avoir testé en avant-première pour vous donner nos impressions en quelques mots : une révolution de hamac (et non de salon), des suspensions qui tiennent et permettent de se retourner, bouger, chanter et rire dans un hamac simple à installer et un espace qui même fermé (lorsque l’on ferme la moustiquaire) permet de respirer et d’apprécier le décor. Ouvert facilement et presque à 100%, le hamac traditionnel fait pâle figure à côté de notre Una où l’on peut ouvrir les bras de toute notre (grande) envergure et presque essayer de s’envoler (on vous promet pas le résultat !)
Bref un hamac conçu différemment et qui apporte son lot de surprises !